Wednesday, March 17, 2010

Français et allemand des médias divisés sur Lagarde

Christine Lagarde critique de l'excédent commercial de Berlin, dans les commentaires du ministre français des Finances fait le Financial Times, a déclenché une réaction chauffée dans les médias français et allemand mardi.

La presse française a déclaré Mme Lagarde remarques exposés de longue date des différences entre Paris et Berlin sur la coordination des politiques économiques de la coordination dans la zone euro.

"L'Allemagne est-il juste en jouant sur l'euro?", Le titre de La Tribune posées.

"Cette intervention, contrôlés ou non, par le ministre des Finances, illustre parfaitement la détermination de la France de revoir complètement la gouvernance de la zone euro afin qu'il se remette sur le chemin de la croissance", indique le journal.

La Tribune a publié un entretien avec Jean-Paul Fitoussi, professeur d'économie à Sciences Po et conseiller du président Nicolas Sarkozy, qui dit: «La stratégie économique de l'Allemagne de construire sur la croissance des exportations est non coopératif."

Selon Les Echos, Mme Lagarde n'avait pas l'intention de «lancer une offensive» contre l'Allemagne, mais Paris reste préoccupé par la faiblesse de la demande intérieure dans la plus grande économie de la zone euro, qui prend 16 pour cent des exportations françaises.

L'économie allemande a stagné au cours du dernier trimestre de 2009 et où la consommation des ménages ont baissé au deuxième trimestre d'affilée, le quotidien fait remarquer.

Dans un éditorial pour Les Echos, Dominique Seux a déclaré que Paris aurait tort de critiquer les excédents allemand, arguant que «rien ne serait plus risible et même dangereux que de prétendre, même implicitement et sans le vouloir, que l'Allemagne est responsable des difficultés de l'espagnol ou le grec". Il a été aussi mauvais moment étant donné que la crise de la dette grecque a exigé une coopération non récriminations, at-il ajouté.

Le Monde fait un lien entre les remarques de Mme Lagarde, et l'insistance de l'Allemagne a continué que tout renflouement zone euro pour la Grèce en charge de la dette est assortie de conditions extrêmement strictes.

Avec l'Allemagne hésite encore à rendre plus explicite ce que la zone euro pourraient faire pour aider la Grèce, le journal a rapporté que Mme Lagarde a défendu ses commentaires à la TF à une réunion avec ses collègues ministres des Finances à Bruxelles lundi soir, plusieurs d'entre eux ont donné leur appui.

Olli Rehn, le commissaire européen aux Affaires économiques, a donné son soutien à Mme Lagarde, en disant "il faut agir dans tous les États membres», Le Monde rapportait.

Appelez Christine Lagarde pour l'Allemagne à stimuler la consommation interne pour aider les pays en déficit de la zone euro a remporté une large couverture dans les médias allemands, avec la plupart des observations qui avait rejeté les critiques injustes.

L'entrevue de FT a fait des nouvelles en première page du quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung, Süddeutsche Zeitung et le Financial Times Deutschland, citant cornue du gouvernement allemand que d'autres pays européens devraient plutôt pour améliorer leur propre compétitivité que d'appeler l'Allemagne à retenir.

"Les Allemands sont trop forts pour les Français", suite de l'histoire des entreprises de premier plan dans la feuille volante conservateur Die Welt, tandis que la Frankfurter Allgemeine a souligné que la politique salariale de l'Allemagne était «insoutenable» pour ses partenaires européens.

Un article d'opinion dans le Süddeutsche a qualifié de «lundi noir pour l'Allemagne", résumant la critique européenne comme disant que l'Allemagne avait «reçu trop bon" par rapport aux autres Etats membres de l'UE.

Marc Biesme, commentateur des affaires à l'Munich-fondé sur le papier, a rappelé la description de l'Allemagne il ya 10 ans comme «l'homme malade» de l'Europe. Des réformes radicales dans l ' "Agenda 2010", notamment la déréglementation du marché du travail et la réduction de la bureaucratie d'État, introduit par le social-démocrate coalition dirigée par Gerhard Schröder, a transformé la performance économique, dit-il.

Les syndicats ont également mis davantage l'accent sur la sécurité d'emploi que les augmentations de salaires, entraînant une série de revendications salariales modestes ces dernières années, dit-il.

"Il faut être deux pour danser le tango", Mme Lagarde, il a cité comme disant. «Bien sûr. Mais si l'un des partenaires ne sait pas pour danser le tango, ça n'aide pas beaucoup si l'autre oublie aussi comment le faire. "

Le Frankfurter Allgemeine a demandé si le débat a été un avant-goût de l'idée française favorisée pour un Européen «gouvernement économique». Premier Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker a exhorté un accord de salaires élevés pour les travailleurs du secteur public allemand, puis Mme Lagarde a exhorté les employeurs allemands pour payer des salaires plus élevés, ce qui rendrait moins compétitive l'industrie allemande, a déclaré Holger Steltzner. «Shrinking industrie française n'existe pas de modèle pour la survie dans une économie mondialisée, at-il rétorqué.

Le commentaire le plus d'avertissement est venu de FT Deutschland, qui a averti que l'excédent d'exportation de l'Allemagne dépendait Espagnols et les Grecs qui achètent des biens allemands, et la gestion des déficits commerciaux. "Il n'ya qu'une seule voie de rééquilibrage, et qui mène par l'intermédiaire de salaires», indique le journal. «Ou bien les importateurs doivent réduire leurs coûts salariaux, ou les Allemands doivent renforcer la demande intérieure. À moyen terme, il n'est pas possible autour de cette ".